De la Cardonication comme acteur de fédération d'une entité sociale
L'homme est un animal social a écrit Aristote. En effet, de tout temps, l'homme a du, pour des raisons évidentes de survie matérielle, vivre avec ses congénères, afin d'une part de mener à bien une politique de collectivisation des équipements, la même qui nous pousse au petit matin du IIIe Millénaire à se concerter sur la LGV PACA, à construire, ensemble, la ville durable, d'autre part arrêter de s'emmerder. Par ailleurs, l'homme, comme tout corps matériel, est caractérisé, entre autres paramètres conservatifs, par sa masse.
Or ce paramètre est fondamental. En effet, quelque soit le référentiel dans lequel on se place, m est constante et intervient dans la grandeur "énergie potentielle", nommée Ep. Or dans la nature, chaque chose tend vers son minimum d'énergie potentielle, et donc comme Ep=mgh, m et g constantes, on a nécessairement une diminution de h.
La Cardonication, ce processus de minimisation d'énergie potentielle, d'après sa traduction littérale à partir de la sémantique mathématique, consiste à minimiser sa hauteur (d'esprit, d'exigences, d'estime de soi, d'ambition...) afin d'arriver au niveau 0, voire plus bas pour les plus doués, afin d'atteindre le bien être ultime : le fonctionnariat.
C'est donc cette tendance universelle découlant de la mécanique Newtonienne, la Cardonication, qui réunit les hommes en communauté, en petits groupes d'individualités distinctes mais qui aspirent au 'fusionnisme' sur tous les plans, tout du moins, à l'échelle mésoscopique.
La Cardonication, plus qu'un effet de mode, qu'un symptôme social, esr une composante intrinsèque et endogène de notre "humanimalité", celle là même que décrivait Aristote.
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